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Messages

Affichage des messages du 2017

Un Petit Dernier

« … «  Aimer, c’est laisser partir ! »…  J’ai entendu quelque chose du genre de la bouche de Guylaine Tremblay , cette femme inspirante et débordante d’authenticité.    Elle racontait une entrevue faite avec un homme quadraplégique ayant demandé la mort assistée en novembre dernier. Questionnant l’épouse de ce dernier sur le « comment on peut vivre une telle demande », cette dernière aurait répondu : «  Si tu l’aimes, tu le laisses partir … »  Dans un tout autre ordre d’idée… … Je quitte pour le reste du mois. Nouvelle-Zélande et Australie m’attendent. Ça finira bien cette 2017 qui fut remplie à craquer de toutes sortes d’expériences et de rencontres nouvelles.  « Je l’ai aimée mais… je la laisse tout de même partir! ...  » Je clos cette troisième année de Vie-du-Temps-Retrouvé qu’avec très peu de regrets car peut-on vraiment ne jamais en avoir ?... Trois-cent-soixante-cinq pages blanches m’attendent pour 2018. Des projets de voyage? Bien sûr

J’en ai plein mon sac !!!

« … Je me trouve drôle! Parce que, oui le sac est plein. Mais plein à ras bord d’essentiels!    Après une presque-nuit-d’insomnie et une re-vie-d-ange-matinale en règle, je me devais de mettre en branle mon derrière et passer de la procrastination à l’action!  Ainsi … En pratique, les vêtements trônaient déjà depuis deux semaines sur le dessus du petit bureau. Au grand dam de mon Grand! C’est en ce mercredi-beau-matin, que le départ déroula dans ma cervelle, son tapis blanc et sonna comme un glas : Go l’Ange, Go !... Ils avaient eu beau être comptés, recomptés, roulés, ensachés, photographiés, déposés en ordre de pesanteur dans le sac, mais subsistait en moi, le doute, entre le 32 ou le 50…  Comme le poids total avoisinait les 9 kg ( ce qui, soit dit en passant, est déjà plus que raisonnable pour une personne qui s’apprête à camper dans le je-ne-sais-pas-trop-où… ), et comme aussi, la hauteur totale du sac dépassait de 1cm ce qui aurait pu le transfo

L’Indice Bohémien

« … C'était un bon dimanche matin … Dehors le Temps se faisait gris. Comme par hasard, l’édition de L’Indice Bohémien *, journal mensuel sur la Vie culturelle témiscabitibienne, reposait à mes côtés.  Alors …   Je me suis glissée entre les pages, savourant chacune d'elles lentement, comme on le fait d'une boîte de pralines, laissant fondre dans ma tête, la différente saveur des mots. Je partage… J’ai adoré le magnifique éditorial de Lise Millette et sa poésie torsadée entre les lignes, tel ce passage: « … De croire que l’homme et son âme se nourrissent aussi de beautés secrètes, d’imagination sauvage, d’improbables rencontres entre le pinceau et des petits pots de peinture d’acrylique, de notes qui volent sur le dos d’une perdrix … » « … De notes qui volent sur le dos d’une perdrix … » N’est-ce pas magnifique?... J’ai aussi apprécié la chronique « Le hasard pour présent » de Philippe Marquis . Il nous rappelle nos Vies top chrono, où «

Encore une autre hein?

« … Réflexion sur le Temps .   Celui qui passe en coup de vent, laissant nos cheveux ébouriffés, gonflés par ces souvenirs, donnant parfois de drôles de mises en plis… Le Temps qui fait grandir, Petits et Grands. Qui modifie le passé pour l’adapter au présent. Ce Temps-avenir qui n’existe pas encore, mais auquel on rêve de s’accrocher… Le Temps qui agace, qui laisse sa trace. Le Temps présent, qui nous fait entrevoir les rides creusées par la Vie et le traître blanchiment de mèches…  Le Temps qui amplifie les bons moments. Celui qui finit toujours par estomper les tourments… Le Temps qui guérit. Le Temps qui oublie… le Temps … Le Temps qui nous pousse à évoluer, à changer nos idées, nos perceptions souvent erronées. Celui qui nous amène à pardonner… Ce Temps qui nous chasse loin de nos zones de confort. Qui nous suggère d’aller voir ailleurs avant que ne vienne le Temps de nous poser une fois pour toutes.   Quelque part .  Jours, s