« … Ça
avait été trop soudain, sans préambule ni préliminaire : le jour d’avant, je
portais des espadrilles sous une fine pluie, le lendemain, je chaussais de hautes
bottes à neige!
En
vingt-quatre heures, la nature avait pris un sérieux coup de vieux. Sous le
choc, sa couette en avait blanchi! Mais c’était bien là l’Abitibi, au climat imprévisible et impétueux.
À l’image de
ses habitants quoi!
Alors que se
propageait au-dehors, la première turbulente histoire de neige de l’automne
2016, bien au chaud dans mon salon, je toutv-ais
la série « Feux* ». Imaginez : la glace et le feu en
parallèle!
Juste pour
vous dire…
… Une chance que
mes Amies Retraitées m’avaient mise au parfum de cette série que j’avais omis
de glisser à mon horaire télé. J’ai englouti les dix épisodes en moins de 24
heures!
Je n’ai pas
regretté. Comme un long-long film dont j’ai suivi avec intérêt, l’intrigante histoire
de Claudine et de Marc. Au fil des émissions, j’échafaudais des hypothèses,
j’essayais de saisir le fin fond de l’intrigue...
Je dois
avouer que j’ai été soufflée par la finale. C’est qu’il est talentueux ce M.
Boucher… Un gros bravo!
Reste maintenant
à savoir si tout a été dit ou si nous aurons droit à un suivi… Quoique, si ce n’était
que de moi, je nous laisserais sur notre faim… »
"De Feux* et de glace", Amos, 20 novembre 2016 |
Commentaires
Et dis-donc, j'ai lu dans le journal que c'était ton gendre qui avait tourné une publicité pour Scaro... La joaillière de Caroline, c'est la propriétaire où j'ai demeuré à mon retour de Kuujjuaq.La grande amie de ma fille!
Et que le monde est petit!