« … J’avais été grandement touchée la veille par le
film « Maudie ». L’histoire de Maud Dowley Lewis, artiste peintre
d’art naïf en Nouvelle-Écosse dans les années ’40.
Sa Vie, rude, entrecoupée par son humour subtil et son
charisme puissant; son amour de l’art et l’amour tout court pour son
Everett-de-mari, m’ont transportée plus d’une heure, presque deux, dans son
monde imaginaire mais aussi bien réel.
Atteinte d’une forme d’arthrite déformante dès son jeune
âge, elle fut longtemps la risée de son entourage, passant pour une demeurée.
Ce qu’elle était bien loin d’être…
Elle le prouva au fil des années, se contentant de vivre sa Vie
d’artiste, dans une minuscule maison sans eau ni électricité. Preuve irréfutable
que les biens matériels ne riment pas nécessairement avec bonheur…
Elle s’éteignit en 1970, à l’âge de 67 ans, laissant
derrière elle, un héritage bien vibrant de son œuvre… »
Voilà pourquoi hier, le 6 novembre, je disais qu’un jour je me
rendrais à Marshalltown en Nouvelle-Écosse…
Ce film là aussi, Amie Sue, tu
aimerais.
Également je n’ai pas assez insisté sur « Behind the clouds/Au-delà des nuages »
hier, mais ce film belge racontant l’histoire d’amour d’un couple qui se retrouve
après 50 ans… était comme un caramel pour l’âme.
L’humour y était présent, et l’amour aussi…
À savourer lentement.
Sans jugement…»
http://www.festivalcinema.ca/fr/films/behind-the-clouds-11955
« Du grand art dans le décor!», résidence
de mes Amis Gaa et Ray, Rouyn-Noranda, novembre 2016
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Commentaires
Ça fera une raison de plus pour aller en Nouvelle-Écosse, à Marshalltown, à cause du film Maudie (que j'ai manqué aussi) déjà que je me promettais d'y aller un jour pour voir Pictou où mes grands-parents se sont embarqués un jour, en provenance des Îles de la Madeleine, pour venir s'établir en Abitibi-Ouest!
Je ne suis pas étonnée que les films te donnent le goût des voyages...
De toute beauté.
Mais une terre enlevée aux Acadiens français par l'Angleterre et par la déportation de ceux-ci.