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Quand riment persévérance et résilience



Ce matin-là, j’étais on ne peut plus « slowmo ». Bien assise sur le canapé gris cendré, un latté callé entre mes mains, j’écoutais des deux oreilles, l’émission « Virages » à TVA.
 
Nouveau. Lise Dion. Son histoire, son cheminement pour en arriver au succès qu’elle connaît maintenant. 

J’ai ri. J’ai eu les larmes aux yeux. Je me suis imprégnée de ces mots, de son courage à forcer un milieu strictement occupé par la gente masculine. À passer de la vente de beignes à la scène du St-Denis…

Inspirante…

Elle a parlé de courage, de survie, du grand désir qui l’habitait, celui de faire rire les gens. La passion. L’audace (ou les couilles…) d’aller au-delà de ce que la famille, les amis, la société, attendent parfois de nous.

J’ai réalisé que je ne l’avais jamais vue en spectacle. Malgré toute l’admiration que je lui porte. 

Je me suis instantanément faite une promesse : ne pas attendre mon soixantième anniversaire avant  d’aller l’applaudir « live »…

Peu importe où ce sera… 

Ni avec qui j’irai…
« Ligne de vie », Route 1055, janvier 2016

Commentaires

Zoreilles a dit…
Lise Dion... Moi aussi, je l'aime et pourtant je ne l'ai jamais vue en spectacle...

Ta photo est très belle, elle m'a fait rêver, je me demandais si c'était la rivière Bell qu'on voyait? Le sais-tu, toi?
Zoreilles, si Lise Dion se pointe à Rouyn, nous irons la voir ensemble! Je t'invite! ;-)
Pour la rivière, c'est la Bell ou peut-être la Laflamme. Désolée, je n'ai pas noté.

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