« … Quand je m’éveille après
une nuit d’un sommeil profond et réparateur, les paupières encore alourdies de rêves,
je remercie la Vie et Qui de droit pour ce bon « moment présent »…
Curieusement aussi, il m’arrive
parfois de penser à ce que ça doit être quand on ouvre les yeux sur notre dernière
journée. Sans le vouloir. Comment une si profonde sensation de bien-être pourrait
se transformer en horreur dans les heures à suivre... Pour soi, pour les nôtres… Pour
les autres…
Est-ce qu’on ressent un picotement
spécial à la nuque? Est-ce qu’on sait, sans savoir? Est-ce qu’on craint inconsciemment?
Est-ce que…
Est-ce la cruelle portion d’humanité
qui ne sait que blesser et/ou tuer qui me rend si morose ? Est-ce ce qui se passe à Paris qui
tourmente ainsi mon esprit?
Idées noires sur fond azuréen…
N’ayez crainte, tout cela n’est
que funèbre réflexion… »
« Silence, on meurt… », Amos, novembre 2015 |
Commentaires