Passer au contenu principal

Messages

Affichage des messages du novembre, 2015

Immortel Compagnon en voie de création…

Depuis que j’ai eu connaissance de cette parution sur le devenu-incontournable-FB(!), j’envisage en fabriquer un…   Tranquillement dans ma coloquinte, se placent les morceaux d’un puzzle imaginaire. J’ai déjà dans la mire, deux coussins de corps, au quadrillé discret, qui pourraient servir pour les bras et les jambes. Le torse pourrait être un oreiller douillet, et la tête… Je cherche encore… Quand mes pensées valsent sur le projet, je songe aux couleurs qui pourraient l’habiller. Seraient-ce… -      Le rose? Hum… Pas trop… Juste un peu… - Du noir ou du brun? Peut-être… Évocation de la chevelure… -      Un jaune pour l’humour, la joie de vivre? Pourquoi pas… - Du blanc pour refléter l’authenticité, la franchise, l’honnêteté, la fidélité? Un « blanc comme neige » ou « blanc galant »… -      Un peu de bleu étoilé, d’azur? J’ose rêver… -      Un peu de vert tendre pour exprimer sa culture dans tous les sens du mot? Cela va de soi… Mais… Pas de rouge, refl

Accords sur mesure

… Ou jeu de mots allégoriques entre un CD et un bon vin… Je me suis amusée à décrire le dernier CD de Charles Duguay comme on le ferait d’un bon vin. L’idée m’est venue alors que je déroulais les routes lors de mon road-trip-au-Temps-des-citrouilles. Sa musique a eu sur moi un effet calmant, rassurant. Valeur antistress intrinsèque…   Sans excès sans abus… Alors voilà, je partage… « … Le petit dernier de Charles est un CD nerveux, structuré, généreux, aux séduisantes notes, qui démontrent son sérieux…… Plus rond, plus suave et plus persistant que le premier CD, les accords sont des plus réussis et particulièrement exquis pour l’oreille. La grâce d’une montée au ciel nous est offerte… Les descentes, jamais aux enfers, s’expriment en toute franchise… Acidité absente, corps corsé, boisé intégré… Assemblage tissé serré, au doigté expressif et charpenté… Il a un profil élégant au potentiel de garde remarquable… Approfondissez-le, jusqu’à ce qu’il gagne en complexit

Samedi-de-Marchand-er

Je sais, les affaires, ce n’est pas facile. Quand on met les pieds où un Vendeur se pointe avec la notion « commission » bien ancré au fond de sa poche, on s’attend à ce qu’il y aura des négociations.   Je sais aussi que parfois, à force de tergiversations, on peut arriver à un semblant d’accord. Un semblant de bonne entente. Il reste que « les affaires sont les affaires » et le resteront pour toujours et à jamais. Tout le monde sait ça. Là n’est pas la question. La question ou plutôt, la réflexion, porte entièrement sur la façon de faire… Ainsi… Sentir qu’on est écouté avec le sourire, que la calculatrice se fait aller sans façon pour tenter de satisfaire les besoins, que les allers-retours reliés à l’indécision se fassent sans exaspération… Voilà sur tout ce que je veux ici, mettre l’accent. Je l’ai vécu ce samedi. J’ai eu maille avec des Gars ben ben ouverts à l’humour, qui ont même embarqué dans notre jeu du « Banquier »… Moi, ça, ça m’épate! Pas de « rou