Passer au contenu principal

Les journées « éteignoir »*



Nouveau concept de l’ange-aérien : ces journées où l’on reprend le chemin de la maison, remplie de désillusions quand au travail, quand à ce qu’on attend de vous… 

Vraiment…
 
… journées où quelques individus s’ingénient à tuer à petit feu la passion qui vous anime…

… journées où l’accumulation de « niaiseries » finit par faire le tas que l’on ne désire pas…

… journées où le dernier mot fait déborder LA vase…

… journée de boues où l’on n’aurait jamais dû se lever… debout!

… journées où certaines personnes auraient mieux fait de réfléchir avant de parler…

… et journées où MOI, j’aurais dû y penser à deux fois avant de m’ouvrir la trappe…

Les journées « éteignoir » sont celles qui se liguent contre vous, contre votre motivation. Celles qui n’ont aucun regret d’avoir existé, d’avoir bouleversé votre quotidien, lequel vous tentez désespérément d’embellir du mieux que vous pouvez…

Parce qu’on s’entend : les milieux de travail où la joie de vivre vibre d’un mur à l’autre sont somme toute, assez rarissimes…

Curieux ce don que possèdent certaines personnes de vous déposséder en un instant de tous vos moyens, d’éteindre vos moments de gloire silencieuse, vos batailles internes de survie dans un monde qui n’est pas nécessairement le vôtre…

Curieux enfin de constater, que ces principaux bousilleurs ne sont pas nécessairement d’une autre culture mais bel et bien…

Vraiment très curieux

*personne qui s’emploie à gâcher le plaisir des autres

"Par solidarité pour Lac Mégantic", Kuujjuaq, juillet 2013

Commentaires

Anonyme a dit…
Moi je t'aime! Je te comprends tellement.

Ami ED
Coucou Ami Ed sorti de nulle part! Faut que je t'avoue que j'aurais dû écrire ce billet jeudi soir... mais les mots auraient été sans doute différents...
Bon reste de vacances! xoxoxo
p.s. moi aussi je t'aime!

Messages les plus consultés de ce blogue

Acculée au pied d'un mur...

... Vendredi soir: je suis accroupie au bas de cette immense porte de plexiglas refermée sur les secrets d’années de vie d’un commerce devenu fantôme... ... J’ai le visage tourné vers ce soleil, à en gober jusqu’au dernier atome d’énergie qu’il peut me fournir en cette fin d’après-midi automnal... ... Suis en baisse... Heureusement, P’tit Bonheur et Méo se trouvent près de moi... Fidèles amis... Le « Nous vous donnerons une réponse, au plus tard la semaine prochaine. » est maintenant chose du passé... et comme le « temps n’est rien »... alors, ne me reste plus qu’à attendre « LA » bonne semaine prochaine!!!... Mode attente, une fois de plus... Est-ce que le simple fait d’avoir passé l’entrevue téléphonique suffira à m’avoir fouetté suffisamment les sens ( et le sang ) afin que je poursuive ici ma route, dans le quotidien de mon « petit fond de rang »??... ... À suivre... Comme de raison... Mais voilà! Il me semble que ce soir, j’en ai ma claque de me sentir raisonnable. D’être « comme

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau recueillie à même la source.  Pour la san

La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)