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Messages

Affichage des messages du septembre, 2012

Parce que...

… «  la vie c’est de ne pas savoir, d’évoluer, de pendre le temps et d’en tirer le meilleur parti, sans savoir ce qui arrivera ensuite … »   Gilda Radner Parce que… … ça me stresse… un peu… de partir comme ça à l’aventure… à mon âge… Parce que… … j’ai décidé qu'en 2013, j'irais dans le Sud en janvier, aux Îles de la Madeleine à l’été et en Angleterre en septembre...  Parce que... ... dans le fond mon âge, mon âge... Qu'est-ce qu'il a mon âge????... Parce que… … «  Life is good  », rien de moins… Alors… … « je serai comme l’oiseau posé pour un instant sur des rameaux trop frêles, qui sent plier la branche et qui chante pourtant, sachant que qu'il a des ailes … » Victor Hugo Je vous reviens le 10 octobre, peut-être avant… Fitzsou l’Ange Aérien xoxoxo merci ma Bonne Amie G pour les pensées...  Dernière minute: 15:45... me croirez-vous si je vous dis que Bob vient de m'appeler pour me dire que mon vol est

La Louve des SS...

C'était mercredi, 19h. À l'extérieur, Kuujjuaq baignait déjà dans le noir. C'était à la pluie tombante...Par la petite fenêtre de mon bureau, je voyais les lumières s'allumer une à une. Le vent sifflait et s'infiltrait dans les moindres interstices des ouvertures légèrement entrouvertes. Ce soir-là, on aurait dit que l'été avait fuit et que l'automne tentait d'entrer au Nunavik sans frapper... comme un étranger errant, à la recherche d'un gîte pour les prochains mois... Je savais fort bien qu'il trouverait refuge ici, et cela, malgré le gigantesque problème de logement que la région connaît... Le coeur de chacune des communautés  s'ouvrirait tout grand pour lui faire une petite place ...  Comme dans la vraie vie ici... finalement... Un peu plus tard, je me retrouvais à plier des vêtements avec l'Amie So et la responsable du Wellness Center, S-Louise, deux compagnes des fameux "Tea party des SSSSSS"... Je me suis retro

Avant de partir, à oublier à Kuujjuaq…

Mes peurs, celles qui me tenaillent les entrailles sans avertir, sans mentir… Le travail, peu importe qu’il soit passionnant ou non… Les vêtements trop chauds, les manches trop longues, les bas roulés… Ma tuque et mes gants, et tant pis si l’Abitibi elle, aura décidé de m’attendre avec le froid, le grésil et peut-être même la neige… L’insectifuge car la seule chose que je voudrai fuir en Italie ce sont les immenses bestioles Italiennes dénommées « hommes »… ( pensez-vous que j’irais m’enticher de quelqu’un qui demeure à six heures de vol de chez-moi… Ben voyons! …) Cependant, à amener dans mon bagage léger … Mes amitiés, d’ici et d’ailleurs… Quelques souvenirs, juste au cas où en plein milieu de l’aventure, je me demande ce que je suis allée faire là-bas… Le Lonely Planet sur la Toscane et Ombrie, preuve irréfutable que je serai à réaliser l’un de mes « 5 Grands Rêves de Vie »…  Pas rien quand même … Puis tout compte fait, peut-être

J3 63 sU4s 7a7…

… u N 7o2 6 t! Quel drôle de jeu matinal que cette association de chiffres et de lettres! Presque lisible à part ça… J’aurais bien aimé avoir la patience d’écrire tout le billet avec cette technique mais paresse oblige…   Croyez-vous que celui à qui revient ce travail, d’inventer du soir au matin ces mélanges de prêt à servir mixturé, est un... robot ???... Hum… Blague à part… j’ai le goût de m’amuser (!) même si j’ai vaguement l’impression que je vais écrire pour ne rien dire. Oh et puis, pourquoi pas après tout : je ne serais ni la première ni la dernière à le faire, si vous voyez ce que je veux dire ( là c’est vrai que je veux dire quelque chose …)  Changement de sujet…  Au moment où j'écris ces lignes, le soleil entre à flots par l’immense vitrine tachetée de minuscules plaques boueuses laissé par la pluie d’hier ( et par celle de bien d’autres hier également ). Ça me met le cœur en liesse moi, quand le soleil inonde la cuisine. Je suis matière v

Rendez-vous avec la nuit

Il y avait si longtemps. À mon souvenir… Était-ce le claquement du vent contre le revêtement extérieur, la chaleur relative régnant dans la pièce du fait que j’avais laissé close la petite fenêtre, justement à cause de Lui et du bruit ou encore, était-ce ce drôle de rêve mettant en vedette Papa Fitzsou et quelque interminable course alors que «  lui et son double (?) se sauvaient dans un dédale de rues que je ne connaissais pas   alors que je tentais de les convaincre de rentrer »???... Vous n’êtes pas obligés d’essayer de comprendre… Je sentais aussi quelques nuages d’inquiétude flottant dans un quelconque recoin de ma coloquinte. J’ai voulu croire qu’ils ondoyaient exprès pour me narguer, comme pour tester ma solidité. Je me doutais que c’était en lien avec certaines recherches effectuées en après-midi alors que je tentais de me faire une idée sur les moyens de transport à utiliser pour passer de Nice à St-Raphaël, puis de St-Raphaël à Tavarnelle Val di Pesa, puis de

Ouch!

Méchant contraste de température et d’humeur : gris, pluvieux, un peu long pour ne pas dire interminable… Mais bon, tout le monde sait que les jours se suivent mais ne se ressemblent pas nécessairement… It’s the life! J’ai donc étiré tel un élastique, les minutes pour en faire des heures en bonne et due forme. Mais là, à quinze heures, j’hésite entre l’appel d’une sieste sur le divan beige, avancer le projet mosaïque stagnant depuis de longues semaines sur le coin de la table, me lancer dans l’écriture d’une correspondance trop longtemps différée, peut-être même de tourner quelques pages d’une quelconque lecture ou encore décrocher le combiné et effectuer la tonne d’appels que j’aimerais faire!  Choix difficiles…  Pendant ce temps, les voix de Julia Roberts et de Richard Gere envahissent le p’tit appartement, histoire de faire un bruit de fond et de combler une partie de l’ennui. J’aurais le goût d’écrire… … «  La suite  » … 16:45- Tante P a fini par me convaincre