... sur Amos, avant longtemps... À tout le moins!
... descendre la « grande côte », le corps un peu rejeté vers l’arrière...
... jeter un oeil aux berges de la rivière Harricana, sur la gauche, en aval...
... laisser mon regard errer vers le large, vers le Nord, ce Grand Nord...
... au milieu du pont, voir à droite le gigantesque pont de fer et l’usine Temlam endormie...
... un peu plus loin, la Maison Authier (mais pour moi ça a toujours été la maison des Duguay!), fière et belle, surplombant la ville, perpétuant ainsi souvenirs des premières années de vie de la Ville...
... la Première Avenue, droite et large, comme un long tapis que l’on aurait déroulé juste pour mon bon plaisir...
... l’éclat du soleil; les vitrines, mes préférées, celles de Karine Belzile et de la Tabagie Agathe...
... le « Tim », la Cathédrale et ma muette prière:
... ce Monsieur, posté à une fenêtre du Pavillon Amos, son au-revoir qui m’arrache des larmes et une partie du coeur, et j’en contamine par le fait même, ma Bonne Amie G et ma Consoeur G...
Drôle de dernier vendredi 6 novembre: je retire les deux clés de mon trousseau, vingt-deux ans que j’ouvre les portes du CLSC, quelles qu’elles soient...
...et maintenant...... c’est bel et bien fini!...
... l’ange doit s’envoler vers d’autres horizons, d‘autres ambitions...
(écrit le 6 novembre, retranscrit et publié alors que je suis en route vers Montréal... un arrêt au café-internet "Un arôme de café", à Mont-Tremblant...)
... descendre la « grande côte », le corps un peu rejeté vers l’arrière...
... jeter un oeil aux berges de la rivière Harricana, sur la gauche, en aval...
... laisser mon regard errer vers le large, vers le Nord, ce Grand Nord...
... au milieu du pont, voir à droite le gigantesque pont de fer et l’usine Temlam endormie...
... un peu plus loin, la Maison Authier (mais pour moi ça a toujours été la maison des Duguay!), fière et belle, surplombant la ville, perpétuant ainsi souvenirs des premières années de vie de la Ville...
... la Première Avenue, droite et large, comme un long tapis que l’on aurait déroulé juste pour mon bon plaisir...
... l’éclat du soleil; les vitrines, mes préférées, celles de Karine Belzile et de la Tabagie Agathe...
... le « Tim », la Cathédrale et ma muette prière:
« Faites qu’aujourd’hui, mes paroles guident les gens afin qu’ils soient en mesure de contrôler leur diabète plutôt que de se faire contrôler par lui... Faites que les connaissances que je transmettrai à cette Jeune « Conseillère » Infirmière, soient concises, justes et suffisantes afin qu’elle prenne la relève sans trop d’incertitudes... »
... ce Monsieur, posté à une fenêtre du Pavillon Amos, son au-revoir qui m’arrache des larmes et une partie du coeur, et j’en contamine par le fait même, ma Bonne Amie G et ma Consoeur G...
Drôle de dernier vendredi 6 novembre: je retire les deux clés de mon trousseau, vingt-deux ans que j’ouvre les portes du CLSC, quelles qu’elles soient...
...et maintenant...... c’est bel et bien fini!...
... l’ange doit s’envoler vers d’autres horizons, d‘autres ambitions...
(écrit le 6 novembre, retranscrit et publié alors que je suis en route vers Montréal... un arrêt au café-internet "Un arôme de café", à Mont-Tremblant...)
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