Je ne comprends pas pourquoi... On le sent à peine venir... Puis tout à coup il envahit, étrangle, étouffe jusqu’à éclatement...
On se sent très bien, puis la minute d’après, c’est le désastre!...
Comme si la pire catastrophe terrestre venait de se produire...
Cataclysme émotif, triste tulami, cyclone affectif...
On peine à l’éviter, à le prévenir... L’épuisement nous guette, comme s’il s’amusait à nous « étreindre » pour nous « éteindre » lentement, inexorablement...
« Du coup, je reprends mon souffle, je sens l’air passer dans mes bronches... et sous mes ailes meurtries... »
Puis tout bloque à nouveau... Je me sens oppressée, je suffoque... je plonge...
Rien n’y fait: ni pelletage « agressif », ni marche rapide, ni même conversation téléphonique... Il est là, tout près... Il guette, sournoisement, il attend le moment pour envahir...
La douleur se pointe, s’enracine... Adieu techniques, visualisations, simulations... rien ne l’arrête... Il s’infiltre dans chaque cellule, se glisse jusque dans le tréfonds du corps physique et moral...
...désolante honte de n’avoir pu prévoir toutes les possibilités de matérialisation de ce misérable cancre...
...colère d’abnégation du « j’aurais peut-être dont dû... »...
...affliction de subir ce marasme désolant... comme si j’avais du plomb dans l’aile...
...comme si toute cette souffrance ne pouvait être présage d’espoir qu’un jour la joie envahisse à nouveau mon moi...
...chagrin d’amour, chagrin d’un jour, chagrin tout court...
On se sent très bien, puis la minute d’après, c’est le désastre!...
Comme si la pire catastrophe terrestre venait de se produire...
Cataclysme émotif, triste tulami, cyclone affectif...
On peine à l’éviter, à le prévenir... L’épuisement nous guette, comme s’il s’amusait à nous « étreindre » pour nous « éteindre » lentement, inexorablement...
« Du coup, je reprends mon souffle, je sens l’air passer dans mes bronches... et sous mes ailes meurtries... »
Puis tout bloque à nouveau... Je me sens oppressée, je suffoque... je plonge...
Rien n’y fait: ni pelletage « agressif », ni marche rapide, ni même conversation téléphonique... Il est là, tout près... Il guette, sournoisement, il attend le moment pour envahir...
La douleur se pointe, s’enracine... Adieu techniques, visualisations, simulations... rien ne l’arrête... Il s’infiltre dans chaque cellule, se glisse jusque dans le tréfonds du corps physique et moral...
...désolante honte de n’avoir pu prévoir toutes les possibilités de matérialisation de ce misérable cancre...
...colère d’abnégation du « j’aurais peut-être dont dû... »...
...affliction de subir ce marasme désolant... comme si j’avais du plomb dans l’aile...
...comme si toute cette souffrance ne pouvait être présage d’espoir qu’un jour la joie envahisse à nouveau mon moi...
...chagrin d’amour, chagrin d’un jour, chagrin tout court...
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