Passer au contenu principal

Messages

Affichage des messages du novembre, 2008

C'est merveilleux...

Je suis assise, à écouter « Tout le monde en parle », en même temps, je songe au sujet de mon futur billet... Et de me demander: c’est quoi mes p’tits bonheurs de la journée??? (c’est ça le « merveilleux »: ...de me questionner sur mes « p’tits bonheurs et non sur mes p’tits malheurs)... ...il y a eu ce café avec mon Bon Cousin. C’est qu’il donne dans la psychologie le Cousin... Plus je le côtoie, plus j’apprends à le connaître... Et il me fait du bien... En fait, je réalise que l’on a « tous nos p’tites misères, mais faut pas s’en faire un calvair... » ... Mais de savoir qu’il est là, disponible à toutes les fins de semaine, pour ses cousines, c’est vraiment, vraiment cool... Et nous avons fait un pacte mutuel: celui d’accorder une demi-heure par jour à ces tâches qui nous attendent, et ce, même si ça ne nous tente pas... Marché conclu mon Bon Cousin... On s’en reparle samedi... Ce pm, je me suis affairée à préparer le souper d’anniversaire de ma Belle Dame D. ainsi qu’à mon Grand, qu

L'Islet-sur-Mer...

Ce soir, c’est un peu de cafard qui envahit mon cerveau... La journée a fait exprès de s’allonger pour ne plus finir d’en finir... Probablement, mon sevrage de contact humain y est pour quelque chose... Un petit café ce matin avec mon Bon Cousin et ma Meilleure Amie, quelques achats pour Noël (oui, ma Douceur ma Belle, ton cadeau est acheté... et ne vient pas fouiller...), et une courte, mais réconfortante jase avec un ami venu chercher sa motoneige, et me revoilà seule avec moi-même... et je n’ai toujours pas trouvé le « bonheur »... donc, suis bien loin de le « partager avec qui que ce soit »... Mais comme on n’arrête pas de me dire que ce sera long, je n’ai pas le choix de prendre mon « mal » en patience... Alors pour déjouer l’ennui, je me suis fait couler un bain, y ai mis des sels à senteur d’Océan, provenant d’une petite boutique (Le quai des bulles) à St-Jean-Port-Joli... Pas à la porte hein, pour se procurer des sels de bain?... Je vous raconte... L’été, depuis quelques années

Bons moments...

Je suis assise pour la 18 ième fois, devant mon portable, à me demander quel sujet pourrait faire l’objet d’un billet... Habituellement, ce n’est jamais bien long et je trouve... Mes « bons moments » de la journée peut-être?? Hum... bonne idée, je crois! Au moins, c’est positif... Alors voilà... Ce midi, j’avais rendez-vous pour dîner avec « ma Meilleure Amie » et « ma Douceur, ma Belle » au resto Le Moulin... Chemin faisant (en fait, je n’avais que la côte de la cathédrale à descendre pour m’y rendre...), je fis la rencontre de mon amie P.S., celle qui fut à l’époque, mon entraîneuse de « marches de pause »... Ça vous semble simpliste? Vous m’en reparlerez si jamais vous vous risquez à relever le défi de seulement prendre une marche de 15 minutes avec elle... C’est qu’elle est grande mon amie P.. Et très en forme, oserais-je dire... J’ai donc profité de l’occasion, comme de raison, pour lui voler bisous et câlins, bien sûr... De ce temps-là, je vous dirais que c’est ma principale sou

Matis et Elliot...

Je ne suis jamais vraiment à court d’idées farfelues... Vous voulez connaître ma petite dernière?? Lisez bien ceci... La semaine dernière, je suis à me faire dorloter chez ma précieuse esthé, lorsque, parle parle jase jase, elle en vient à me raconter ses jeudis soirs d’ « horreur »: voler du service de garde, à la garderie en milieu familial, à la maison, préparer le souper, pour finir par atterrir à son travail pour la soirée... Me v’l’a tu pas à sentir mon petit « hamster » céphalique partir à la grande course pour finir par m’entendre dire: « Je pourrais te troquer du gardiennage contre des soins... » Et mon esthé de me répondre: « Es-tu sérieuse? Certain que ça m’intéresse... » Tiens, tiens: on dirait que je viens encore de m’embarquer à toute volée dans une histoire qui risque d’être abracadabrante... Qu’à cela ne tienne: je me suis donnée la fin de semaine pour y penser... Ce que j’ai fait, profitant de ma « retraite sylvestre », j’y ai réfléchi. J’ai tenté de peser le pour

Ciné-qualité...

Dans mon patelin, à tous les 2 semaines, on présente un Ciné-qualité. Des films je dirais, un peu plus songés, sans grand tapage publicitaire, mais souvent très intéressants. Enfin, moi j’aime... Le rituel de ces mercredi bi-mensuels, c’est tout d’abord un souper avec mon amie L., souvent chez elle, parfois à l’extérieur... Ce soir nous nous sommes préparées une pizza mexicaine (si la recette vous intéresse je vous la donnerai: c’est santé, à base de légumineuses et prêt en 10 minutes!!!) . Ainsi, ça nous donne le temps de partager sur les 2 dernières semaines de nos vies respectives (de ce temps là, la mienne est plus mouvementée que la sienne...) Et comme L. et moi travaillons dans le même domaine, et bien ça nous permet aussi de faire des échanges, disons, professionnels! Puis, on se rend à pied au cinéma qui se trouve à environ 15 minutes de chez L.. Ce qui contribue à bonifier nos 30 minutes d’activité physique quotidienne, un must dans nos vies stressées de l’an 2008! Ce soir, on

Un pm pas comme les autres...

15hres: j’ai terminé ma rencontre avec mon deuxième client de l’après-midi. Je saute dans mes bottes et enfile mon manteau « trop chaud » (en fait, il était très bien ce matin en traversant le pont avec le vent qui soufflait, mais voilà la température s’est beaucoup adoucie, alors...). Je me dirige vers la Caisse, car Mme C. , ma couturière bien-aimée, a terminé les réparations que je lui avais demandé la semaine dernière. Après ce bref arrêt, je poursuis ma marche, profitant de ma pause (oh!oh! j’entends déjà les mauvaises langues se récrier contre les « fonctionnaires »...erreur: je ne suis pas une fonctionnaire... et ma pause dure 15 minutes, pas une de plus... d’acco d’ac?)... Chemin faisant, juste en tournant le coin du petit resto « Valentine », qui est-ce que j’aperçois? Mon âme soeur masculine, sirotant son café dehors, en prenant quelques bouffées de... bon, ça lui prenait un défaut, je lui laisse celui-là, sinon il serait trop parfait... Bisous, câlins, je suis vraiment au «

"Sky is the limit..."

J’ai grandi dans le milieu de l’aviation. Mon père était instructeur-ingénieur-pilote, mon frère aîné est pilote de ligne, mon frère cadet est ingénieur-pilote... Pendant que mon père « volait », ma mère prenait les lectures d’essence, accueillait les gens, facturait les heures de vol, attrapait les avions... s’occupait de nous, de notre éducation, de notre santé, de notre bien-être... Et maman attendait mon père, « parti voler », lui préparait de bons repas, et l’attendait encore... Elle souriait aux clients, les rassurait... attendait mon père, encore et encore... Patiente maman! Et nous avions pour jouer, de vieilles toiles d’avion, celles que mon père retirait des fuselages, lorsque ça faisait trop longtemps qu’elles avaient été installées... Et ces toiles prenaient la forme qu’on leur donnait à grands coups de poing... J’ai entendu bien avant d’aller à l’école le mot « dope »... Ce terme faisait parti de notre langage usuel! C’était utilisé pour rigidifier la toile qui couvrait la

"Mange, prie, aime..."

Je ne sais plus quoi penser, j’anticipe ce que certaines personnes diront... Je suis à lire « Mange, prie, aime » d’Elizabeth Gilbert. J’y retrouve des similitudes avec ma vie, mais surtout des expressions que j’ai moi-même utilisées dans mes billets précédents! Et je vous jure de ne pas faire de plagia! Par exemple, la notion d’ « amputation » dont il est fait mention à la page 254. Je suis présentement (enfin, au moment où j’ai écrit ces lignes, je l’étais...) dans le fin fond du bois, c’est dimanche matin, le soleil pénètre à flots dans mon petit camp surchauffé... et je lis ce passage... Zut! Je me croyais originale avec cette métaphore employée dans mon premier billet, il y a de cela 15 jours passés!... Qu’est-ce que cela signifie?... Plus j’avance dans cette lecture, plus je me dis que si j’avais un jour à écrire un livre, je le ferais un peu à la manière de cette dame, avec les mêmes parenthèses, les mêmes réflexions « en direct »...Coï ncidence, synchronicité?... Je me rappelle

Mon coeur d'enfant...

Vous avez déjà écouté le film Ratatouille sur une télé 13 pouces, un vendredi soir, en mangeant des mini gâteaux au fromage enrobés de chocolat, et ce, accompagnés d’un énorme verre de boisson de soya???... Moi, si! Et c’est angéliquement réconfortant, croyez-moi! Ratatouille, c’est l’histoire d’un rat, aux ambitions culinaires inassouvies. Moi, il m’inspire ce p’tit rat par sa détermination et son audace à vouloir réaliser son rêve de devenir un grand chef cuisinier, et ce, malgré toutes les embûches qu’il croise sur son chemin « humanitaire »... À Paris, lorsqu’il réussit à se glisser enfin, dans les cuisines d’un grand resto gastronomique, qu’il s’y fait un ami, prénommé Linguini, et qu’il partage ses connaissances et sa passion, il atteint en partie ce rêve. Jusqu’au jour où son ami devient imbu de lui-même et prétentieux, ce qui gâche évidemment, toute la « sauce »... Croire en la beauté de ses rêves, ne pas tomber dans l’excès jamais, penser que « la modération a bien meilleur g

Ici et maintenant...

Quelle journée!! Mon coeur déborde de bons moments!... Neige folle descendant lentement du ciel dans un ballet orchestré alors que je traverse « mon » fameux pont, cet avant-midi... ...c’est un départ... Rencontres impromptues, mais combien espérées, semées au fil des heures... ...la sympathique propriétaire de ma tabagie préférée, qui me raconte les rénos exigées, par les années ayant usées la devanture de son commerce... ...rendez-vous avec mon esthé, complice de mes moindres états d’âme... ...rencontre avec ma soeur, ma meilleure amie, pour un dîner... en compagnie de ma fille, ma douceur, ma « belle » comme un ange ... ...et de partir avec elle, le temps d’une rapide incursion dans un entrepôt afin d’y ramasser des oranges... le temps d’un plongeon, tête première, dans l’univers magique de talentueux artisans de la ville, évoluant dans une exposition remplie de brillance, de transparence, de beauté... le temps de précieux moments partagés, complicité, sourires de connivence... Rapp

Le pont...

Tôt le matin, je pars de mon petit bled, isolé mais sympa, bien ancré sur le bord d’une longue rivière qui se faufile jusqu’à la ville voisine, et même, bien au-delà... À peine 10 kilomètres me séparent de cette ville, alors... ...pour profiter de la « vie », de ses « p’tits bonheurs », et surtout du puissant effet anti-dépresseur, je me gare depuis peu, dans le stationnement du resto chinois... le seul de l’endroit, et de là, je me rends à pied, à mon travail... Je marche pour la forme, pour le besoin, ce qui me donne... ...dix minutes de parfait bonheur, d’air pur, de calme, de tranquillité... ...la chance de voir un soleil paresseux, étirant ses rayons par-dessus la première avenue, faisant briller les fenêtres des commerces, m’aveuglant, brave marcheuse déambulant avec but... ...le temps de laisser porter mon regard sur les eaux brunes, et ce matin, gelées, de la rivière, en traversant le pont à « dos rond »... ...la possibilité d’observer cette imme

Poison hypnotique...

Ce je ne sais quoi qui empoisonne mon existence, s’infiltre dans chacune des cellules de mon corps, particulièrement celles de mon cerveau... Ce je ne sais quoi qui envahit mon esprit, se répand dans mes veines, me trouble... Ce je ne sais quoi qui me nargue sans arrêt, me guette et m’attaque lorsque je m’y en attends le moins... Ce je ne sais quoi qui me paralyse, me coupe les jambes et l’inspiration... Ce je ne sais quoi qui me poursuit, m’enveloppe d’un voile opaque... Ce je ne sais quoi qui m’intoxique, me rend aigrie et vulnérable... Ce je ne sais quoi qui me laisse sans force, sans espoir... Ce je ne sais quoi qui m’harasse, me vide de toute énergie créatrice... Besoin de retrouver le sommeil, de me reposer dans les bras de Morphée... Besoin de comprendre, d’accepter... Besoin de croire que le meilleur est à venir... Besoin de croire que je saurai voler de mes propres ailes ... Besoin de croire que tout espoir n’est pas perdu... Besoin de croire que si « je peux le rêver, je peux

Hommage à un Ange...

Ce midi, comme à tous les mardi midis, j’ai longé lentement la rivière. J’ai marché vers mon rendez-vous hebdomadaire de chaleur humaine, de rires, de p’tits bonheurs... Habituellement, après y avoir stationné mon véhicule tôt le matin et être partie travailler à pied, j’avise vers la fin de l’avant-midi , Mme D. pour savoir si je peux aller partager mon repas avec elle... Mais ce matin, mon emploi du temps m’en a empêché... qu’à cela ne tienne, elle m’attendait avec son sourire d’octogénaire, ravie mais curieuse de connaître la raison de mon inhabituel retard... Logeant tout près du rapide à l‘extrémité nord de la ville, elle habite une vieille, mais charmante maison blanche, d’où elle y effectue en saison, la surveillance des pêcheurs, et cela comme peu d’agents de la faune ne pourraient le faire... Comme elle est Belle cette Dame, qui fêtera bientôt ces 89 ans... Fière, droite, débrouillarde et sûre d’elle-même, elle a su allier tout au long des années, sa vie familiale à son propre

L'écharpe...

J’y ai travaillé de nombreuses années... Je viens à peine de la terminer... Lorsque je la regarde, j’en suis fière. Je pense à toutes ces mailles qui la composent, chacune y jouant un rôle aussi important que la précédente... Tous ces petits riens qui en font son unicité. Les couleurs, les motifs... N’allez pas croire que se faire une écharpe est facile. Ça demande du temps, beaucoup de temps... Et de la patience, une patience d’ ange ... Et un peu d’habileté... Oh! On peut toujours consulter certains livres qui peuvent nous aider parfois lorsque la maille se complique... Mais nous demeurons toujours maître « de l’oeuvre »... J’ai débuté mon écharpe en utilisant deux broches... puis j’en ai pris une troisième, puis une quatrième... Jusqu’à l’hiver dernier, j’en ai même utilisé jusqu’à 6... Ça, c’est un peu plus compliqué, tricoter à 6 broches, mais ça donne tellement de beaux résultats... Je maniais avec beaucoup d’agilité (du moins je le crois...) la broche « maîtresse », celle qui se

"Il ne sera qu'une fois...

...ce billet effleurant d’un coup d’ aile ... ...mon passage à Québec: « Québec » la belle, la mystérieuse et merveilleuse « Québec »... ...ma rencontre intime, avec ce grand frère se remettant tranquillement de graves problèmes de santé... ...mon congrès, où j’ai appris qu’une personne toutes les 10 secondes apprend qu’elle est diabétique, et que les incrétines seront un des traitements d’avenir en diabète (ça ne résume pas tout le congrès, mais je trouvais que ça se glissait bien dans une « bloguation »)... ...ma fin de semaine, en incroyable compagnie de J.B., S.D. (ce n’est pas moi...) et L.L... des filles extraordinaires, qui gagnent à être connues... St-Sauveur, attache ta tuque!... Nous sommes d’extrêmement « bonnes personnes » les filles!... ...et finalement, une réflexion dont je saurai demain si mon psy en sera fier ou pas... Mise en situation : mon grand frère s’est levé pour répondre à un besoin naturel... je demeure assise, seule à cette pet

"Si j'avais les ailes d'un ange...

Assise à la table de la cuisine, je regarde l’astre lunaire miroiter sur les eaux de « mon » lac... J’adore les pleines lunes! Ça me donne toujours le goût d’aller me promener dans la forêt, sans autre éclairage que cette lumière scintillante et le clair-obscur qu’elle produit. Ces instants regorgent de mystères et en même temps, apaisent. Du moins, c’est l’effet que produit cette boule argentée géante sur moi et mes humeurs... et j’en avais bien besoin... Avec cette belle lune (car elle ne sera vraiment pleine que demain...), un vent arrive du sud, se projette sur ma petite maison et la remplie de courants d’air frigorifiant. C’est le pire vent pour nous: ça nous glace jusqu’aux os! C’est qu’elle n’est pas très bien isolée ma chaumière! Imaginez avec nos -40 degrés hivernaux abitibiens... L’enfer je vous dis, pas du tout un repaire adapté pour un ange ... du moins l’hiver! C’est une toute autre histoire l’été! Je vous en reparle dans...7 mois??? Demain, je n’y serai pas. Québec m’a

Le surligneur...

J’ai dans un des tiroirs de mon bureau, un surligneur... en fait, j’en ai plusieurs et de plusieurs couleurs, mais il y en a un particulier, auquel j’attache beaucoup d’importance: c’est le rose . Parce que sur ce dernier, j’y ai collé l’inscription suivante: « Les p’tits bonheurs de la vie»... Ce n’est pas nouveau, il existe depuis plusieurs années... En fait, je dois vous avouer que je suis un peu « toquée » sur les bords! Saviez-vous qu’il existe une abréviation d’un problème de santé mental, appelé « trouble obsessif compulsif » ou TOC? Et bien, je souffre d’un TOC « léger » ou + ...certains comprendront... Et sachez, qu’un TOC + est le présage d’une perfectionniste pas du tout atteinte d’un mal incurable!!! Ça fait, comme dirait une docteure que j’apprécie beaucoup, « des gens qui travaillent bien... » Tenez vous-le pour dit! Ce surligneur me sert à démarquer dans mon agenda les « p’tits bonheurs de la vie », « de ma vie » devrais-je dire... Genre?...soupers, 5 à 7, rendez-vous, c

Drôle de troisième fois ou jamais deux sans trois...

Quelle journée! Ou devrais-je dire quelle nuit! Couchée à 23hres30, éveillée à 1hre25... Recouchée vers 3hres15, réveillée à 5hres30!!! Jamais eu aussi hâte qu’une nuit prenne fin! J’ai même pensé renoncer à me présenter au travail ce matin, du moins pour quelques heures, mais après avoir fouillé un peu dans le fond de moi, j’y ai trouvé un restant d’énergie que j’avais dû oublier il y a quelques jours... Avec un sirop de café, j’ai pu faire le am; avec une goulée d’air le pm! Et me revoilà devant « ma bouteille à la mer », à me demander quels mots oseront sortir de mon cerveau engourdi par le manque de sommeil... Ce matin j’ai bien cru perdre mon P’tit bonheur... C’est ma chatonne de 3 mois, adoptée au début d’octobre, pour éventuellement prendre la relève de Céphalée, ma vieille chatte bronchitique. C’est que ma maison risquerait d’être envahie par les souris si ce n’était de sa persévérance à chasser pendant tout l’été! J’ai donc décidé d’appliquer le principe de « la plus expérime

Drôle de deuxième fois...

Avec mes enfants, petits et même un peu plus grands, il fut une période où nous finissions les soupers avec une activité appelée « Les bons et les mauvais moments ». Chaque membre de la famille devait nommer un bon et un mauvais moment de sa journée. Nous couronnions le tout d’un chocolat. Parfois même, s’ajoutait un cri d’animal... Simplement pour prouver que « le ridicule ne tue pas» ... Aujourd’hui, j’ai eu un bon et un mauvais moment... Je commence par le mauvais... Ah et puis non! Je le garde pour moi...par respect pour la personne concernée et en plus, je n'ai pas le droit de viser une personne comme mauvais moment! Mais dans ma tête, c’est tout de même mon mauvais moment... Et mon bon moment? Ce matin, avec mon ami Méo (border-colley de 5 ans), je suis montée à mon camp, dans le p’tit Nord... Un camp de « filles », genre « on retire nos chaussures avant de nous aventurer sur le plancher verni »... Chemin faisant, nous avons rencontré mon plus proche voisin de camp avec sa ch

Drôle de première fois...

J'habite sur un site de base d'hydravions...mais les hydravions, quand arrive novembre, sont plutôt frileux et s'empressent de décoller pour soit hiverner, soit troquer leurs flotteurs contre roues ou skis...C'est ainsi que j'ai vu cette semaine, le long quai ou (là je sais que j'aurais dû mettre un accent grave sur mon "u" mais je ne sais pas encore o"u" il se cache sur mon clavier!!...) sont amarrés tout l'été, entre 10 et 12 hydravions, se faire amputer de sa douce moitié dans un premier temps, puis quelques jours plus tard, disparaître complètement dans le fond de la baie voisine, afin de survivre aux affres des glaces printanières 2009...Anodin vous croyez? Non, pas pour moi! Ce quai est le tremplin de mes réflexions nocturnes, de mes muettes prières à la lune, de mes observations stellaires... Alors me voilà, à observer les eaux brunes de la rivière Harricana , sur un tas de gravier pas du tout inspirant...Qu'à cela ne tienne: m